C’est un frein cognitif à l’idée de manger un insecte 🦗dans nos sociétés occidentales.
🐛Le « facteur Beurk » est précisément cette réticence culturelle et émotionnelle à manger des insectes, souvent présente dans les sociétés occidentales. 😱
Les chercheurs pensent que cette répulsion finira par diminuer, notamment en raison des défis croissants liés à la sécurité alimentaire et à la durabilité.
✅Les insectes sont privilégiés comme une source prometteuse de protéines pour l’avenir en raison de leur haute teneur en protéines et de leur faible impact environnemental par rapport à l’élevage intensif de bétail.
✅Les insectes sont une excellente source de protéines, avec des taux bien plus élevés que ceux trouvés dans la viande traditionnelle, tout en nécessitant moins de ressources pour leur élevage.
✅ L’augmentation prévue de la demande en protéines d’ici 2030, combinée aux effets négatifs de l’élevage intensif sur l’environnement, pousse les chercheurs à explorer sérieusement les insectes comme une alternative viable.
✅ Leur capacité à convertir la nourriture en protéines de manière efficace, ainsi que leur faible empreinte écologique en termes d’émissions de gaz à effet de serre et de consommation d’eau, en font une option attrayante pour répondre à ces défis futurs.
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